La semaine passée un ami m’a montré ses relevés de compte CÉLI et RÉER. Dans ces relevés… aucuns CPG. Il est très conscient que les taux d’intérêts dans les banques sont très bas. Ainsi, il est confiant que placer ses épargnes dans des actions de bonnes entreprises est un bon chemin à suivre pour faire fructifier ses épargnes à long terme.
Alors, qu’ai-je vu dans ses relevés? 7 fonds mutuels. 3 fonds mutuels d’actions américaines (ces 3 fonds détiennent les actions d’Apple). 2 fonds d’actions canadiennes (un des fonds contient seulement d’autres fonds). Finalement, il y aussi 2 fonds d’obligations. Les 5 fonds d’actions ont en moyenne des frais de gestion de 2.25% des actifs. Les 2 fonds d’obligations ont en moyenne des frais de gestion de 1.70% des actifs…
Je sais très bien que les fonds mutuels permettent aux épargnants de facilement diversifier leurs investissements avec des petits versements périodiques. MAIS, à quel prix? Les frais de gestion indiqués plus haut sont tous enlevé du rendement potentiel des placements. Ainsi, avec les fonds mutuels, en réalité, je paye quelqu’un pour me garder en confiance avec mes placements. Dans la situation de mon ami, les frais qu’il paye représente environs $2000 pour 2014. S’il continue avec seulement des fonds mutuels, d’année en année, il payera des frais grandissants avec son portefeuille qui grossi.
Le bon chemin à suivre selon moi. Oui au fonds mutuels (sans commissions différés DSC) tant que les contributions annuels aux épargnes sont moins que $1000. Lorsque les contributions annuelles sont supérieures à $1000… il faut utiliser les fonds indiciels négocié en bourse. Ces FNB (ETF) ont des frais de gestion minimes. Je pense à XIU-T, SPY-N, XBB-N). Lorsque le portefeuille avoisine les $60,000, il est temps de contempler acheter des actions directement et dire bye bye aux frais de gestions annuels cachés dans les chiffres. S’il faut les services d’un conseiller, il faut le payer à sons taux horaire.
Qu’en pensez-vous?
À la semaine prochaine,