Les intérêt dans le RÉER le reste dans le CÉLI

Le RÉER « lave » tous les rendements à l’intérieur du compte.  Plus précisément, lorsqu’il est temps de liquider le compte… ce qui chose certaine éventuellement… le montant de la liquidation est tout simplement ajouter aux revenus imposables.  Ainsi, le taux d’imposition sur les retraits sera le même que celui pour les revenus d’intérêts.  Ceci, même si seulement la moitié des gains en capitaux est imposable et les dividendes de compagnies canadiennes bénéficient d’un crédit d’impôt pour l’actionnaire.

Par contre, avec le CÉLI, tous les montants retirés du compte ne sont pas imposables… nada… 0.

Alors, les placements qui génèrent des intérêts ont vraiment leur place dans le RÉER (Certificat de dépôt, obligation), tandis que les autres placements ont leurs place dans le CÉLI (actions canadiennes, actions américaines sans dividendes).  Pour les actions privilégiées canadiennes, je préfère les gardées dans mon compte comptant… pour bénéficier du crédit d’impôt sur les dividendes.

Pour une action américaine qui verse un dividende, il faut être conscient que si l’action est détenue dans un compte « enregistré » tel un RÉER ou un FEÉR, le gouvernement américains NE retient PAS 15% du dividende comme retenu d’impôt, par contre dans un compte CÉLI, oui!

Alors, dans ma situation, jusqu’à aujourd’hui, je garde ces actions dans mon compte RÉER.  Mais avec mon nouveau compte CÉLI en dollars américains en place, je vais, petit à petit, remplacer mes actions américaines qui payent des dividendes (dans mon RÉER) par des actions de Bershire Hathaway (elle ne paye pas de dividendes) dans mon CÉLI.

À la semaine prochaine,

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