Veresen… je vends… mais…!

Je fais un peux de nettoyage de printemps dans mes stocks.  Durant ce nettoyage, la bourse m’a rappelé une leçon importante.

Laisser de l’argent sur la table!

Depuis une dizaine d’années, je détiens, ou plutôt, je détenais le stock Veresen (VSN-T).  C’est une compagnie qui baigne dans les pipelines et l’extraction et la gestion de gaz.  Comme le prix du stock augmentait récemment sans comprendre pourquoi et ma position n’était pas très importante, j’ai decidé de vendre.

 

Et bien, une semaine après ma vente, Veresen annonce qu’elle se fait acheter à un prix supérieur du prix courant!  Alors, si j’aurais détenu l’action au moment de l’annonce de la nouvelle, j’aurais $1000 de plus dans mes poches.

Une des leçons à retenir dans cet événement est de ne pas imaginer que toutes les décisions que je prends avec mon portefeuille sont optimales.  Souvent, mes décisions « me fait laisser de l’argent sur la table »… c’est correct, comme épargnant à long terme, le système récompense ma patience et ma discipline amplement.  Alors, quand d’autres épargnants, ou traders, en profite, je ne peux qu’afficher un petit sourire de la situation.

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Je n’ai pas vendu mes actions de Veresen parce que mon allocation dans le secteur de l’énergie était trop haute.  C’est plutôt le contraire. Mon allocation dans ce secteur était en bas de ma cible.  Alors, j’ai remplacé Veresen en ajoutant à mes positions dans Impérial Oil (IMO-T), ConocoPhillips (COP-N) et Helmerich & Payne (HP-N).   Pour ces achats, j’ai aussi utilisé mes liquidités.

… et je continue de faire le plein d’essence chez Esso (propriété de Impérial Oil).

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En passant, je suis en train d’explorer le décaissement de mon portefeuille de stocks américains (qui est dans un compte FERR) en dollars américains.  Ainsi, au lieu de convertir mon retrait mensuel du FERR américain en dollars canadiens, je désire recevoir des dollars américains pour payer mes excursions aux États-Unis.

Le déclencheur de cette initiative est le 2% de prime au taux de change que les banques et les courtiers chargent pour convertir des dollars américains en dollars canadiens.  Au moins, en retirant des dollars américains de FERR américains, je déciderai avec qui je veux convertir mes devises.

Le commis chez Questrade m’a dit que c’est possible!  Je vous laisse savoir

On se donne rendez-vous au mois de juin,

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