Vive les fonds indiciels… ou pas!

Les fonds indiciels (fonds négociés en bourse – FNB) sont de bons outils pour démarrer un portefeuille de d’épargne à long terme. Détenir un fond indiciel permet très facilement de diversifier ces placements et ainsi réduire le risque qu’un stock fasse un gros trou s’il devrait faire un gros « pouf » financier.

Notez que je dis bien démarrer un portefeuille et non maintenir à tout jamais, car les fonds indiciels ont aussi un gros problème qui désavantage le détenteur comparer à détenir des stocks sois même. Le problème est que par définition un fond indiciels doit refléter l’indice qu’il suit. Plus concrètement, comme en 2000, lorsque les stocks technos ont monté à des niveaux euphoriques, les gestionnaires des fonds indiciels ne pouvaient faire autre qu’acheter ces stocks à des prix euphoriques. Ainsi, quand la bourse est en mode euphorique, les fonds indiciels le sont aussi.

Alors, pour mitiger ce risque, je préfère détenir des stocks moi-même. Ceci me permet de vendre une partie d’un stock lorsque son prix devient euphorique et de diriger cette liquidité pour acheter et ajouter à des stocks qui sont moins populaires. En utilisant un outil comme mon Allocation de stock, il devient facile de déterminer quel stock doit être récolter pour ensuite rajouter à des stocks qui sont en baisses. L’idée est de travailler avec les même 35 à 40 stocks parmi les 11 secteurs économiques qu’englobe l’indice S&P 500.

Avec la récolte importante de dividendes de septembre j’ai ajouté à mes positions de :

3M (MMM-N) – Industriel

Transcontinental (TCL.A-T) – Consommation discrétionnaire

Pepsi (PEP-N) – Consommation de base

Medical Facilities (DR-T) – Santé

Tecsys (TCS-T) – Technologie

ADP (ADP-Q) – Technologie

AT&T (T-N) – Communication

Consolidated Edison (ED-N) – Services publiques

Au mois prochain,

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